Les trains voyagent dans l’espace et le temps.
Les réalités visibles s’effacent, les paysages mentaux ressurgissent. Photographier les trains et ce qui s’y joue, c’est faire de la photo comme on construit un film. Un film dans lequel le déplacement, donc la lecture, serait organisé sur plusieurs dimensions.
Les présents, les flash-back et les transferts s’entremêlent, s’organisent en un montage où les intervalles, les espaces intermédiaires relient et remont(r)ent notre histoire.
Les trains : 350x90
Impressions sur aluminium
Les espaces de mémoire : De 9x13 à 30x40
Impressions sur papier